Michel FRANCOIS, conseiller municipal d'opposition à Béthune s'agite beaucoup en conseil municipal pour fustiger le maire qui embauche trop et pour fustiger l'ancien maire qui n'aurait rien fait pour le commerce à Béthune. Nous avons donc enquêté sur ce monsieur.
Nous avons d'abord appris qu'il était arrivé en retard au dernier conseil car il était avec Jacques Mellick en train de préparer ses interventions au conseil.
Concernant les embauches abusives d'Olivier Gacquerre nous sommes d'accord avec vous. Mais pourquoi alors solliciter le Maire qui est aussi Président du SIVOM du béthunois (bonjour le cumul, merci Anticor) pour faire embaucher votre femme au Sivom ?
Concernant le commerce, quel est le bilan de Monsieur FRANCOIS, ancien conseiller municipal chargé du commerce sous l'ère Mellick ?
Son bilan est désastreux : jugez en vous même et souvenez vous.
Quand Stéphane SAINT-ANDRE et son équipe arrivent à la mairie en 2008 de nombreux commerces sont fermés.
La grand place de Béthune comptait par exemple 5 friches commerciales. Deux assoiations de commerçants se faisaient la guerre et les animations commerciales étaient rares.
A la fin de leurs mandats Stéphane SAINT-ANDRE et Philippe PREUD'HOMME avaient un bilan plus que positif puisque les animations commerciales étaient revenues, que le dialogue avec l'association (fusionnée) des commerçants était rétabli et que le nombre de friches avaient fortement diminunées.
N'oublions pas au passage que Jacques Mellick a mis à mal le commerce béthunois avec une politique de stationnement imbécile et surtout qu'il a donné son feu vert à la construction d'un hypermarché à Noeux les Mines (qui heureusement ne s'est finalement pas fait).
Alors avant de donner des leçons Monsieur FRANCOIS il faut balayer devant sa porte.
Votre porte parlons en. Vous avez ouvert un commerce rue Saint-Pry à Béthune sans solliciter l'autorisation de l'Architecte des Bâtiments de France. Votre façade est une insulte à la beauté architecturale de notre centre ville. Cette affaire est en procés car vous êtes hors la loi.