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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 19:40

Il parait que Jacques Mellick père ne veut plus être cité dans cette affaire et qu'il ne connait pas Fabrice PASZKOWSKI.

 

Pourtant ce dernier est carté au PS rue Copernic.

 

Mais peut être que JM ne connait plus ses militants. Vu qu'il n'y en a plus beaucoup il devrait s'en souvenir !

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 12:19

C'est une entreprise béthunoise connue qui a commencé les travaux.

C'est une entreprise belge (tiens tiens !) qui les termine.

Pourquoi ???

 

peintre 

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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 11:57

C'est quand même un peu fort, Jacques Mellick s'attaque à l'honneur d'un homme l'accusant maintenant de désertion.

 

Ce sont des méthodes de voyous qui permettent de déployer un écran de fumée et d'éviter d'aborder les sujets essentiels.

 

Sous prétexte que le DGS est souffrant on l'accuse maintenant de désertion.

 

Faut il rappeller que le DGS de la Ville de Béthune est un homme de grande valeur qui n'est jamais sorti de son rôle et de son devoir de réserve.

 

Son seul crime aux yeux de l'opposition est d'avoir agit pour mettre en oeuvre une promesse de la majorité à savoir examiner en profondeur les contrats qui lient la Ville à des sociétés privées.

 

Est ce de sa faute si, grace à lui, la majorité découvre les turpitudes de Jacques Mellick ? Bien sur que non. Mais dans ce clan quand on représente un danger on tue.

 

Et puis JM ferait bien de ne pas parler de désertion lui qui fut Secrétaire d'Etat à la Défense sans avoir jamais fait son service militaire.

 

Sans doute s'est il fait réformer pour soutien de famille......... 

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 16:27

Cela fait 15 jours que l'affaire a été révélée et toujours pas de réponse aux questions posées !

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15 juin 2011 3 15 /06 /juin /2011 17:46

Médiapart révéle également un scandale sur des acquisitions immobilières au profit d'une SCI béthunoise.

  

Nous nous sommes procurés des renseignements sur le scandale de la pharmacie Mellick à Catorive.

 

Nous vous laissons juger !

 

Nous nous sommes penchés sur les opérations immobilières réalisées par la SCI JMB PHARM concernant des biens situés rue Pasteur et rue d’Aire à Béthune acquis auprès de la

SEPAC les 19 septembre 2001 et 30 juillet 2003.

 

La SCI JMB PHARM, a été constituée le 10 décembre 1987, avec trois actionnaires : Monsieur Miguel MELLICK,

 Monsieur Jacques MELLICK,

 Madame Béatrix BARRE-AFFRE, (Epouse de Jacques MELLICK)

 

L'objet de la SCI : acquisition de tous immeubles, la construction, la gestion,

l’administration, la location et la mise à disposition de tous immeubles dont elle pourrait

devenir propriétaire, par voie d’acquisition, échange, apport ou autre.

 

.

Les opérations immobilières de la SCI JMB PHARM :

 

Les biens détenus par la SCI JMB PHARM sur la commune de Béthune :

 

Sur les 10 biens identifiés, 9 sont toujours la propriété de ladite SCI dont 8 sont regroupés et

forment l’angle des rue Pasteurs et d’Aire à Béthune. Il s’agit des références cadastrales

section AC numéros 482, 483, 484, 485, 487, 488, 769 et 770.

 

 

La parcelle AC 486 a été la propriété de la SCI JMB PHARM avant d’en être exproprié en

juillet 1999 suite à une ordonnance d’expropriation de février 1998.

 

Or, il ressort que les 7 parcelles référencées AC 482, 483, 484, 485, 487, 488 et AC 770 ont

été achetées par la SCI JMB PHARM auprès d’une société d’économie mixte, à savoir la

SEPAC en date des 19 septembre 2001 et 30 juillet 2003 et ce dans des conditions qui

paraissent singulières.

 

La SCI JMB PHARM semble avoir réalisé d’excellentes opérations immobilières avec la SEPAC, puisqu'elle a acquis pour une somme globale de 73.749 € plusieurs

lots pour lesquels son vendeur, la SEPAC, a déboursé, une somme totale de 82.147 € après

les avoir détenues en moyenne 9 années.

 

La Ville et le contribuable ont donc été spoliés. D'autant que les biens en question ont été sous loués en toute illégalité à un médecin et à des infirmières pendant cette période. 

 

La SEPAC a quant à elle enregistré une moins value immobilière de 8.398 € au terme de

9 ans de détention et ce, au profit de personnes privées.

 

Trois biens immobiliers propriété en 1989, de la ville de Béthune, dont le Maire était

Monsieur Jacques MELLICK, (né le 22 juillet 1941), se retrouvait 11 ans et 10 mois après,

détenus par la SCI JMB PHARM contrôlée par les deux fils et l’épouse de

Monsieur Jacques MELLICK.

 

A l’origine, les parcelles vendues par la ville à la SEPAC, l’avaient été en vue de

l’aménagement de la ZAC Catorive.

 

La lecture des piéces nous révelent que le 1er décembre 1989, soit douze jours après la cession des parcellesAC 484 et 485 au profit de la SEPAC, cette dernière, représentée par son Président Jean Pierre KUCHEIDA, consentait un avantage financier non négligeable à

Monsieur Miguel MELLICK en lui octroyant un droit d’occupation à titre gratuit des locaux AC

484 et 485.

 

Il est vraisemblable que l’occupation à titre gratuit des parcelles AC 484 et 485 consentie le 1er décembre 1989 par le Président de la SEPAC à Monsieur Miguel MELLICK

se soit prolongée jusqu’en septembre 2001, date à laquelle la SCI JMB PHARM était

devenue officiellement propriétaire desdites parcelles.

 

Si tel devait être le cas, ceci constituerait une situation pour le moins anormale, qu’un

organisme financé par des fonds publics puisse consentir un tel avantage au profit d’une

personne privée exerçant une activité commerciale.

 

 Le 18 janvier 1988, les lots 1 et 2 de la parcelle AC 486 étaient achetés par la famille

MELLICK auprès d’un pharmacien Monsieur Michel VALEMBOIS, dans les conditions

suivantes.

 

Le lot 1 composé d’un local commercial avec cave au sous sol devenait la propriété de la

SCI JMB PHARM pour un prix de 45.735 €.

Le lot 2, correspondant à une maison d’habitation à l’étage, était cédé à Monsieur Jacques

MELLICK fils pour un montant de 76.225 €.

 

 Le 22 février 1991, Monsieur Jacques MELLICK revendait son lot à la SCI JMB PHARM

pour un montant de 94.518 €.

 

Le 9 février 1998, le juge de l’expropriation du Nord Pas de Calais rendait une

ordonnance d’expropriation à l’encontre de la SCI JMB PHARM visant la parcelle AC 486 et

ce, au profit de la SEPAC.

 

Cette ordonnance faisait l’objet d’un acte notarié le 21 juillet 1999.

Or, le 27 septembre 1999, une hypothèque conventionnelle était inscrite sur la parcelle

AC 486, à l’encontre de la SCI JMB PHARM dans les conditions suivantes.

Cette inscription se faisait au profit de CMV FINANCEMENT devenue CMV

MEDIFORCE, (organisme de financement des professionnels de santé, actuellement Groupe

BNP PARIBAS), du fait que la SCI JMB PHARM, représentée par Madame Béatrix

BARRE-AFFRE, était caution d’un prêt de 274.608,54 €, octroyé le 27 juillet 1999, à

Monsieur Miguel MELLICK.

 

En d’autres termes, il semblerait que Monsieur Miguel MELLICK ait réussi à souscrire

un prêt le 27 juillet 1999, de 274.608,54 €, en donnant comme garantie à l’organisme

financier un bien immobilier dont la SCI JMB PHARM n’était plus propriétaire depuis le

21 juillet et dont il savait qu’il faisait l’objet d’une expropriation depuis le 9 février

1998.

 

Tout semblerait donc indiquer que l’établissement prêteur pourrait avoir été abusé par

Monsieur Miguel MELLICK qui a dû produire un acte attestant que la SCI JMB PHARM

était propriétaire au 27 juillet 1999 du bien AC 486 alors que cette dernière ne l’était

plus depuis le 21 juillet 1999.

 

 

Concernant les acquisitions immobilières réalisées les 19 septembre 2001 et 30 juillet

2003 par la SCI JMB PHARM auprès de la SEPAC, dans des conditions de prix pour le

moins avantageuses, l’ensemble des éléments présentés tendrait à envisager l’idée

que cette opération pourrait en réalité avoir été planifiée dès novembre 1989 lors de la

vente, par la ville de Béthune, sous le couvert de la ZAC Catorive des parcelles AC

482, 484 et 485 au profit de la SEPAC.

En conclusion Miguel Mellick et la Sté JMB PHARM ont acquis à l'origine un bien racheté deux ans après par la SEPAC présidée par Jean-Pierre KUCHEIDA plus cher que le prix d'achat. Aujourd'hui d'après nos informations ADEVIA (qui a remplacé la SEPAC) est toujours propriétaire de la pharmacie de Catorive. Il semblerait que Miguel Mellick soit aujourd'hui occupant sans droits ni titres.

 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 14:24

Interrogé par Médiapart au sujet des soupçons qui pésent sur la délégation de service public du parking souterrain, Jacques Mellick a évoqué son état de santé à l'époque et renvoyé vers son adjoint aux finances et son directeur général des services de l'époque.

 

Quel courage de se défiler ! Qu'en pense Michel Cauche, l'ex adjoint concerné ?

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 10:56

 

On sait maintenant pourquoi la ville est endettée.................................

 

 

Médiapart le trés sérieux site d'information vient de publier ces révélations sur les méthodes de Jacques Mellick.

 

C'est édifiant !

 

 

 

Les déballages de l'après-Mellick à Béthune

 

11 juin 2011 | Par Louise Fessard

Alors que l'affaire Dalongeville, du nom de l'ex-maire PS de Hénin-Beaumont mis en examen pour détournements de fonds, détournements de fonds publics, faux en écriture, favoritisme et corruption passive, pourrait être jugée à l'automne 2011, à une trentaine de kilomètres de là, à Béthune, la mairie solde quant à elle ses dossiers de l'ère Mellick.

En mars 2008, Stéphane Saint-André (PRG), à la tête d'une fragile majorité hétéroclite, a ravi la ville au socialiste Jacques Mellick, maire de Béthune de 1977 à 1996. Après ce mandat interrompu par sa condamnation en 1996 pour faux témoignage au profit de Bernard Tapie dans l'affaire VA-OM, Jacques Mellick avait repris le collier en 2002. Le socialiste a laissé à son départ en 2008 une dette de 64 millions d'euros, classant la petite ville de 27.000 habitants au rang de la commune la plus endettée du Nord-Pas-de-Calais (2394 euros de dette par habitant).

Et plusieurs projets stoppés net par l'actuel maire, qui les qualifie de «pharaoniques». «Sous chaque dossier soulevé, il y a une affaire», soupire le directeur général des services, Pierre Godot, arrivé en septembre 2010.

Parmi les dossiers ciblés, celui d'une délégation de service public (DSP) confiant en mars 2005 la construction d'un parking sous-terrain et l'exploitation de la totalité du stationnement payant de Béthune à la société Q-Park, le numéro 4 du marché des parkings en France. Une DSP manifestement conclue dans des conditions très désavantageuses pour la Ville et qui lui a déjà coûté 10 millions d'euros en cinq ans (au lieu du 1,3 million prévu).

D'après un audit réalisé par un cabinet d'intelligence économique pour l'actuelle municipalité (publié sous l'onglet “Prolonger”), le préjudice final, au terme des trente ans de DSP, s'élèvera à près 50 millions d'euros. «Les conditions d'attribution de la DSP stationnement concentrent de très sérieux faisceaux de présomption de truquage de marché public assortis des conséquences financières catastrophiques pour la ville», souligne l'audit.

A la suite de cette enquête qui n'a pas encore été communiquée au conseil municipal, le maire Stéphane Saint-André a déposé plainte, le 11 avril 2011, au nom de la commune, pour favoritisme, recel de favoritisme et escroquerie. La plainte est à l'étude selon le procureur de Béthune.

L'audit montre notamment que deux sociétés (OTH Nord et Groep Planning), membres du collège d'experts de la Ville chargé d'évaluer les offres techniques et financières des trois candidats (Vinci, Eiffage et Q-Park), ont travaillé par la suite sur le chantier de Q-Park.

Le bureau d'études OTH Nord, qui «a contribué à la notation de plus des deux tiers des critères d'évaluation des offres des candidats en faisant ressortir en première position, le dossier Q-Park» selon l'audit, figurait également en bonne place sur l'offre de Q-Park, comme membre de son «équipe pluridisciplinaire» et devant assurer la direction du chantier avec une autre société. 

«Ce conflit d'intérêts manifeste pour OTH Nord pouvait difficilement avoir échappé (...) à la direction générale des services de la ville de Béthune à l'époque», relève l'audit. Que si, répond l'ancien adjoint aux finances de Jacques Mellick, Michel Cauche, «vous me l'apprenez». Quant au directeur général des services de l'époque, Pascal Van Acker, il affirme, en contradiction avec le document publié ci-dessous, qu'«OTH n'a assuré aucune mission de maîtrise d'œuvre pour Q-Park sur le parking mais pour la ville sur des travaux annexes».

Offre de Q-Park, octobre 2004

48 millions d'euros de préjudice

Du côté de Q-Park, la directrice générale, Michèle Salvadoretti, découvre pour sa part que «la ville avait comme conseillers Groep Planning et OTH Nord». Mais de toutes façons «nous n'avons jamais contracté avec OTH Nord et jamais eu de relations avec Groep Planning, c'est seulement le groupement d'entreprises qui a réalisé le chantier qui a confié à Groep Planning les plans bétons du parking, car ils étaient spécialistes de la technique en taupe demandée par la Ville», assure-t-elle.

Groep Planning (aujourd'hui devenu Sum Project) confirme être «uniquement» intervenu «comme bureau d'études par la discipline de stabilité (construction ossature, béton armé et précontraint, fondation)».

Curieusement, on retrouve cette société belge d'urbanisme et d'architecture à l'initiative du projet : en 2003, mandatée par la municipalité Mellick, Groep Planning avait préconisé la construction non d'un mais de deux parkings souterrains à Béthune ! Ancien consultant pour une entreprise d'urbanisme néerlandaise, Jacques Mellick a toujours refusé d'en donner le nom. Mais il précise qu'il ne travaillait que dans les Länder d'ex-Allemagne de l'Est.

Deuxième tour de passe-passe soupçonné par l'audit : le financement de la DSP repose principalement sur les recettes de voirie (horodateurs), autrefois perçues par la ville, qui doivent permettre au délégataire de rentabiliser la construction et l'exploitation du parking souterrain. Q-Park, qui avait le projet le plus coûteux des trois candidats (un investissement de 11,5 millions d'euros), aurait surestimé les recettes de voirie attendues pour réduire d'autant la subvention demandée à la Ville et espérer remporter le marché.

«Pour sa première année d'exploitation le délégataire estimait que la place de voirie devait du jour au lendemain générer un rendement annuel de 514 euros, soit le double de fin décembre 2004, une hypothèse irréaliste», souligne l'audit. Là encore, «en toute connaissance de cause par l'exécutif de la Ville». Qui plus est, selon l'audit, la présentation des offres à la commission de DSP est biaisée, le tableau de comparaison des recettes de voirie ne reposant par exemple pas sur le même nombre de places (1800 pour Q-Park et 1400 pour Vinci).

Fort opportunément pour Q-Park, le contrat prévoit une compensation annuelle de 300.000 euros (maximum) en cas de non-respect des recettes attendues par le délégataire. Depuis 2005, la Ville a déjà versé 1,6 million d'euros de compensations à Q-Park.

En additionnant, sur les trente ans de la DSP, cette compensation financière annuelle, la subvention d'équipement versée, les recettes de voiries non perçues et le salaire des agents des surveillance de la voie publique, toujours à la charge de la mairie, l'audit estime le préjudice pour la ville à 48 millions d'euros a minima... «Le montant évoqué me paraît ahurissant et irréaliste», réagit Pascal Van Acker, à l'époque directeur général de services de la Ville de Béthune.

Pour Q-Park, comme pour Jacques Mellick, la faute revient à l'actuelle municipalité qui n'aurait pas respecté ses obligations, notamment la construction d'une halle aux produits frais censée assurer une certaine affluence au parking souterrain.

«Les recettes prévues étaient tout à fait raisonnables, mais l'ancienne municipalité n'a pas rendu payant un parking de 300 places comme c'était prévu et elle a cessé de contrôler le stationnement sur la voirie», répond Michèle Salvadoretti.

Puisque rien ne nous sera épargné, on en arrive donc au comptage des procès-verbaux pour défaut de paiement. «9132 PV dressés par les 8 agents de surveillance de voie publique (ASVP) en 2010, et 5299 PV depuis janvier 2011, auxquels il convient d'ajouter une grande partie des 1365 PV dressés par la police municipale», énumère Pierre Godot.

Quant à la halle aux fruits et légumes, qui devait coûter près de 6 millions d'euros aux Béthunois, «ce dernier délire mégalomaniaque de Jacques Mellick aurait fini de ruiner la ville», assène le fonctionnaire. 

Affaire immobilière

Au détour de son détricotage de la DSP du parking, le cabinet d'intelligence économique est également tombé sur les affaires immobilières de la SCI JMB Pharm, contrôlée par les deux fils pharmaciens (Jacques et Miguel) et l'épouse de Jacques Mellick, dans une zone d'aménagement concertée (ZAC) béthunoise. Une ZAC, censée désenclaver le quartier de Catorive, qui, selon Stéphane Saint-André, «a surtout servi à mener une opération personnelle pour le maire».

Au début des années 1990, la société d'économie mixte Sepac, alors présidée par Jean-Pierre Kucheida, député-maire PS de Liévin et proche de Jacques Mellick, rachète plusieurs logements de part et d'autre de la toute nouvelle pharmacie de Miguel Mellick, pour réaliser un rond-point et une nouvelle voie dans ce quartier isolé. «A l'époque, on avait fait un référendum dans le quartier pour qu'il n'y ait pas de conflit d'intérêts entre la pharmacie de mon fils et l'intérêt général», affirme Jacques Mellick.

La Sepac rachète notamment trois biens immobiliers à la Ville de Béthune. Sur deux de ces parcelles, la Sepac donne en décembre 1989 un droit d'occupation gratuit à la SCI JMB Pharm. Officiellement en échange de l'entretien des bâtiments et en attendant les travaux du rond-point qui doivent détruire la pharmacie (l'expropriation prononcée en 1998 ne sera jamais menée à bien).

Sauf que le rond-point ne se fera jamais : en 1996, lorsque Bernard Mellick devient inéligible, son successeur à la tête de Béthune, Bernard Seux, stoppe le projet. Et au début des années 2000, la Sepac revend sept des parcelles à la SCI JMB Pharm pour un prix inférieur de plus de 8000 euros à celui de l'achat une dizaine d'années plus tôt.

C'est-à-dire que la SCI JMB Pharma a bénéficié pendant une dizaine d'années d'un droit d'occupation gratuit de deux bâtiments, et que trois bâtiments propriétés de la Ville de Béthune en 1989 se sont retrouvés dix ans plus tard rachetés à un prix modique par cette SCI contrôlée par la famille Mellick.

«Les biens sont restés inoccupés pendant une dizaine d'années et s'étaient dégradés, ce qui explique la différence de prix», relativise Bruno Fouquart, directeur d'Adevia, la puissante société d'économie mixte qui a absorbé la Sepac en 2009.

«Ce n'était pas du tout un projet Jacques Mellick pour la pharmacie mais au contraire contre la pharmacie, puisque mon fils, qui a été exproprié et n'a jamais reçu de dédommagement, aurait pu se retourner contre la Sepac», réplique quant à lui Jacques Mellick. La pharmacie Catorive abrite aujourd'hui également le siège de la holding du père, Mellick Engineering, qui coiffe ses activités de commercialisation d'automates préparant les sachets-doses pour des pharmacies, maisonnées de retraites, hôpitaux, etc.

Quatre élus de l'opposition (Bernard Seux, Jean-Pierre Deruelle, Michel Piard et André Delhaye) ont eux aussi écrit au procureur de Béthune en s'interrogeant sur la légalité du marché passé... pour l'audit (40.000 euros), estimant que les offres rejetées étaient moins coûteuses.

@@@@@@@@@@@@@@@@

 

 

Concernant la délégation de service public, Jacques Mellick a évoqué son état de santé à l'époque et renvoyé vers son adjoint au finance et son directeur général des services de l'époque. Jean-Pierre Kucheida et OTH Nord (devenu Iosis) ont eux réclamé, voilà deux semaines, un délai pour examiner leurs archives. On attend encore...

 

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 10:57

On connaissait son penchant pour le 421, on connaissait son penchant pour la beauté des paysages biélorusses, on connaissait son penchant pour le mensonge (il dit en Biélorussie qu'il est encore député maire de Béthune), on connaissait son penchant les chars d'assaut, on connaissait son penchant pour le retournement de veste, on connaissait son penchant pour les annonces tonitruantes jamais suivies d'effet, mais on ne connaissait pas son penchant pour les attaques personnelles.

 

Eh oui ! c'est nouveau, à force de refréquenter son copain Mellick, Bernard Seux dérape et fait comme lui. Il tombe dans l'attaque personnelle.

 

En même temps nous disons nous que c'est plutôt bon signe.

 

Quand on tombe si bas c'est qu'on a plus rien à dire !

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 08:39

Le maire de Béthune et ses adjoints étaient présents au carnaval du début à la fin !

 

Il était où JM l'ancien maire ?

 

En fait il déteste les fêtes populaires préférant de loin la vie parisienne et aller fumer le cigare à Genéve.

 

Jacques Mellick aurait même déclaré devant témoins : "les béthunois sont des cons".

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 08:28

Il parait que le maire a vu rouge lorsqu'il s'est aperçu que le parking souterrain était fermé dimanche.

 

Il recherche les coupables et exige des sanctions !

 

Il a raison quand on sait que ce parking, voulu par Jacques Mellick pour servir ses rêves de grandeur, est une catastrophe pour les finances de la Ville !

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